Réunissant une dizaine d’étudiants de l’université Bordeaux Montaigne et les chercheurs associés au programme, ces prospections ont porté sur des parcelles de terre de grande culture et des labours forestiers, avec l’accord des propriétaires. Elles ont permis de tester le degré d’exactitude des informations portées sur les cartes et plans anciens (Belleyme, État-Major, cadastre napoléonien), préalable indispensable pour une analyse de la densité de ces constructions avant la loi de 1857. À l’exception de deux éclats de débitage attestant de passages de groupes humains à la transition paléolithique final-néolithique, les vestiges rencontrés appartiennent surtout à d’anciennes constructions du XIXe siècle.