Vue aérienne Marquèze
L’Écomusée de Marquèze face aux enjeux climatiques, énergétiques et sociétaux

Si l’Écomusée de Marquèze n’a pas attendu 2022 pour entamer sa mue vers un équipement plus écologique et adapté aux attentes et pratiques des visiteurs des années 2020, ces derniers mois ont mis violemment en évidence la nécessité d’accélérer ces transformations. Parmi les mesures prises pour adapter l’écomusée à ces nouvelles donnes climatiques, énergétiques et sociétales, le Parc a choisi d’accompagner un travail de recherche qui sera mené par  Léa Ternat, lauréate en 2022 du Master 2 Patrimoine et Musée de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour. Elle entame cette année une thèse encadrée par le Laboratoire ITEM ( Identités, Territoires, Expressions, Mobilités) de l’Université de Pau intitulée "Analyse et étude du rôle des écomusées dans le développement durable et la représentation des territoires du futur". Les deux principaux écomusées étudiés sont l'Écomusée de Margeride (Cantal) et l'Écomusée de Marquèze, choisis pour leur notoriété et leur représentativité du concept écomuséal d’origine. Mais sa thèse prendra en compte également d'autres exemples nationaux et internationaux, s’attachant notamment à une approche comparative avec certains écomusées du Québec et du Canada, souvent précurseurs en matière muséologique. Florence Raguénès, conservatrice de l’Écomusée de Marquèze, fait donc partie des membres associés à la recherche et le Parc s’est engagé à faciliter les démarches et la valorisation du travail de Léa Ternat via le prêt de salles du Pavillon à titre gracieux.